ADAPTATION du CODEUR  COD912 à un ancien émetteur.


Vous possédez peut-être un ancien émetteur, SUPERTEF des premières générations ou autre émetteur de bonne qualité mécanique
mais dépassé au niveau des performances.
Nous allons vous montrer que vous pourriez transformer cette quasi épave en un montage au top de la technologie.

Pour ce faire, il suffit de réaliser  un codeur COD912. Voir   Codeur-912     Puis de l'installer dans votre boîtier à l'aide du support
intermédiaire que nous décrivons ci-dessous

Le Circuit imprimé du support.Cimpr-SUP912.jpg (20094 octets)
Cliquez pour télécharger le fichier .EPS  à exploiter avec Ghost-View. Voir explications dans TELECHARGEMENTS
Il s'agit d'un simple face très facile à réaliser.  La figure ci-dessus en montrant le côté CUIVRE

Le câblage du support.

Sup-COD912.jpg (58770 octets)


    Rien de bien compliqué :
    En bas, une barrette de connexion FEMELLE de
    24 points. Plus haut, à la gauche des deux résistances
    de 27 kW, une autre barette femelle de 2 fois 5 points.
    Ces deux barrettes étant destinées à recevoir le codeur
    qui est muni de picots mâles correspondants.
    En haut, 16 diodes 1N4148 permettant le gestion du jeu
    de 16 commutateurs du système. Voir plus loin.
    6 résistances 1/4 W de 27 kW, quatre pour tirer PC0..3 à
    la masse et deux pour faire de même pour PC6 et PC7
    Au centre du support, le régulateur 7805 pour fournir la
    tension de 5V nécessaire au codeur, tandis qu'une zener
    400 mW de 9.1 V alimentée par 220 W, fournit + 9V.
    La tension d'alimentation du support est de 9.6V ou de 12V
    Cette tension est appliquée sur les plots centraux marqués "+"
    et "-" . Cette tension est prélevée par une 15 kW et un pot.
    ajustable de 10 k pour fournir la tension de mesure du
    niveau batterie par le processeur. Une résistance de 4.7 kW
    complétant le pont diviseur de cette mesure.
    Le circuit imprimé n'étant pas double face, il faut realiser
    quelques liaisons à l'aide de staps isolés.
    Les potentiomètres des manches, des trims et des commandes
    annexes sont à connecter, chacun par 3 fils : Le +5V, la masse
    et la tension curseur. On pourra ainsi connecter M1, M4, M5,

    M7, TR1 et TR4 à gauche puis M2, M3, M6, TR2 et TR3 à
    droite.  Par ailleurs, en haut se trouvent les départs vers le
    clavier et les  divers commutateurs.


Quatre trous sont prévus pour la fixation du support dans le boîtier de l'émetteur. Ils seront percés à 2 ou 2.5 ou 3mm selon les possibilités de ce boîtier.

En principe : M1 est le manche d'ailerons, M2 celui de profondeur, M3 celui de dérive et M4 celui de gaz.
Par ailleurs : TR1, TR2, TR3 et TR4 sont les trims électriques de ces manches
Enfin : M5, M6 et M7 sont des actionneurs annexes supplémentaires.

Connexions vers clavier et commutateurs.                                                     STF96-SW.jpg (27583 octets)

Vous avez ci-dessus, le schéma de connexion vers ces commandes. Les diodes sont implantées sur le Cimpr support.
A gauche, les 4 touches du clavier à monter sur un petit morceau de Cimpr et à installer dans le boîtier là où elles trouvent place.
Les inters DRx sont des inters de DUAL-RATE, les CPx sont des inters pour activer ou supprimer les couplages programmés.
Ty, pour appel du tachymètre, PC pour communication RS232 avec PC ou Rx à synthèse
St/m  pour stop moteur ( sécurité ) V8 pour voie TouR supplémentaire, Bis pour appel de CONFBIS et EVF pour passage en fréquence de secours

Pour toutes ces actions se référer à la notice d'utilisation, ainsi qu'à la description du STF96

Sur le codeur COD912, vous avez un connecteur 14 points pour liaison à l'afficheur. Le câble plat serti a ses fils dans l'ordre de branchement
vers l'afficheur : 1 vers 1 ..... 14 vers 14.  Attention, au départ, mettre le potentiomètre de contraste à 0

Un autre connecteur pour câble plat se situe en haut du codeur. On en trouvera l'utilisation  dans la description du STF96
Correspondance des  connexions de ce câble :

1 : PA0,   2 : PA1,  3 : PA2    Lignes de reconnaissance du type de platine HF
4 : Sortie Modulation vers platine HF
5 : Entrée tension varicap de la platine HF
6 : PD0  : entrée RS232
7 : Sortie vers transistor de commande du buzzer
8:  PD2  Entrée d'appel de CONFTER
9 : entrée tachymètre
10 : PD1 : sortie RS232
11 : PD5 : sortie "Enable" du SPI
12 : masse
13 : PD4 : sortie "Clock" du SPI
14 : PD3 : sortie "Data"   du SPI   NB : Le SPI est chargé de gérer la platine HF à synthèse de fréquence

Platine HF
     Pour ce qui concerne la platine HF : Cela dépendra de l'ancien émetteur en cours de transformation :
        - C'est un Supertef. Dans ce cas, vous pouvez utiliser les platines existantes, de HF8 à HF10, en choisissant en conséquence le
           sens de modulation.
- C'est un émetteur du commerce. Vous avez alors la possibilité de réutiliser la platine à quartz existante, mais vous ne profiterez pas de
           la synthèse de fréquence. Vous pouvez aussi opter pour la réalisation d'une platine, soit du type HF9, si vous trouvez la place pour la
           loger. Sinon, il vous est possible de faire une platine de type HF11, comme celle du STF05. Elle n'est pas encombrante et devrait alors
           trouver facilement sa place : Toujours aussi près de la sortie antenne que possible. Pas question de tirer un fil de 10 à 15 cm entre la
           sortie platine et l'embase d'antenne. La distance ne devrait pas dépasser 5 cm max.
    Dans tous les cas, me contacter pour évaluation de la meilleure solution.

Dernière version logicielle.
     Nous venons de mettre la dernière main à une refonte du logiciel du codeur proposé pour cette adaptation.
     La version    STF96-E3   présente toutes les caractéristiques de la version STF05-E3   ( voir  descriptions ), à savoir les 7 courbes à 9 pts
     par cellule, les paramètres du stop chrono par cellule, les possibilités de téléchargement entre Supertef et Similtef .....
     Elle n'en diffère que par le nombre des actionneurs possibles limités à 7 ( au lieu de 9 )  Elle n'a pas l'option Autotrim car nous partons du principe
     que l'émetteur utilisé aura soit des trims électriques, voire des trims mécaniques.
     Aller à la page TELECHARGEMENTS pour récupérer cette version.
     Mais attention, le codeur doit d'abord recevoir le Boot-Loader par mes soins, comme les dernières versions du STF05

Nous restons à votre disposition pour tout renseignement complémentaire, pour la fourniture du circuit imprimé à trous métal du COD912,
pour la programmation du µC  etc .......

Un exemple de montage dans un Supertef  type 89               (   Communiqué par M. MEMIN  )

CI embase codeur 912.JPG (39674 octets)

 

 

 

 

      Le circuit imprimé support avec ses composants est fixé par
      4 boulons sur équerres elles-mêmes fixées sur les coins des manches
      Noter un petit luxe :  inscriptions gravées sur le cimpr.

      Il manque, en bas, une 1/2 embase femelle de 12 points

 

 

 

 

 

fixation embase codeur 912.JPG (51922 octets)

 

 

 

 

       Vue du circuit imprimé support installé dans le boîtier.
       Les packs d'accu sont en bas au centre
       Il serait possible aussi de monter 5 éléments à droite et 5 à gauche,
       comme proposé dans CONSEILS/ Réalisation du boîtier....
       Dans ce cas, le circuit support pourrait être descendu, comme dans le
       STF96

 

 

 

 

 

manches cables et clavier.JPG (58332 octets)

 

 

 

       Vue du câblage des liaisons aux manches et au clavier.
        Ici  le + et le - ont été repris pour chaque actionneur ce qui
        impose un grand nombre de liaisons.
        Il serait plus simple de n'avoir qu'un seul + et un seul - pour
        chacun des manches droit et gauche
        En haut, liaisons cers le clavier et divers inters.

 

 

 

 

 

 

cablage terminé.JPG (55358 octets)

 

 

 

              C'est quasiment terminé.
              Il   reste  embrocher le codeur...... avec la barrette femelle 12 points
              cette fois   mise en place.